La Danse Voilà la VIE

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quinta-feira, 4 de março de 2010

danseuse dans l'atmosphère


La Danse Classique
c'est l'esprit qui s'envole
dans le corps de la Musique

Marília Gonçalves






C'EST BIEN LA DANSE


Quand nous rentrons dans la salle de danse, nous nous sentons bien, c'est agréable de voir tous ces costumes, avec des milliers de couleurs, je m'imagine, avec ce magnifique tutu bordé d'or. J'aime toutes sortes de danses, mais particulièrement la danse classique.
Le monde entier trouve ça très gracieux. C'est bien d'être gracieuse! 
J'ai commencé à quatre ans. Mon rêve ainsi que celui de beaucoup d'autres petites filles, c'est de devenir une danseuse étoile.
Nous aimerions tellement que ce rêve se réalise.
Quand je me couche, je m’imagine danser avec un prince charmant et que je suis éclairé par un rayon de lune. Cela me fait battre le coeur tellement fort, que ne puis m'empêcher de danser dans ma chambre.
C'est bien d'imaginer ce que je vous raconte...
Nous commençons à faire les exercices, c'est très important les exercices, cela permet de s’échauffer, à notre rythme  et en plus nous pouvons parler entre copines. 
J' aime danser, parce que c'est une chose dont je ne me lasse jamais. Mais le pire c'est quand certains garçons commencent à dire que la danse c'est pour les chochottes! et, que c'es nul!
Il gâchent notre plaisir de savourer chaque note de la musique.
Le moment préféré c'est quand le rideau s'ouvre peu à peu, nous apercevons, des centaines de spectateurs, les lumières s'allument, eu l'on rentre dans cette mélodie.
C'est bien la la danse

Katia 10 ans
( a commencé à danser à 4 ans)





26

Petite perle cristalline

” Petite perle cristalline
Tremblante fille du matin,
Au bout de la feuille de thym
Que fais-tu sur la colline ?
Avant la fleur, avant l’oiseau,
Avant le réveil de l’aurore,
Quand le vallon sommeille encore
Que fais-tu là sur le coteau ? “









Uma corça pequenina

Esta corça bebé tinha acabado de nascer quando lhe tiraram a fotografia, porque que a mãe dela , por causa dum carro, foi fazer uma grande viagem para as verdejantes planícies donde não se volta mais.
Mas houve uma equipa de médicos que se ocupou da corçazinha e ela assim cresceu feliz, até poder voltar à floresta, já com forças para viver sozinha ou juntar-se a um grupo de amigas.





Já viram corças em liberdade, não muito longe de vocês?
pois escutem o que lhes vou contar.
A minha casa, onde vivo sempre, desde há muitos anos
fica numa pequena aldeia no meio de florestas muito grandes, imensas,
onde vivem muitos animais.
Logo nos princípios da Primavera as árvores começam a revestir-se de verde claro fresco e tenro, é o surgir das folhas, não são folhas ainda que se possam reconhecer, lembram um arrendado vegetal que veio poisar-se em cada ramo. O húmus tem um cheiro intenso de terra forte e fértil, com cogumelos que lhe acentuam o cheiro. E o perfume das árvores acentua a carta de visita da floresta, o seu perfume que nos grita às narinas: estamos aqui, voltámos, rejuvenescidas, depois do longo sono do Inverno. Mas era sono aparente, por dentro de nós toda esta explosão de vida e de verde andava em preparação.
Mas na verdade tudo se passava oculto ao olhar humano. Nada, ninguém nos podia ver
Certa vez, era um 1° de Maio fomos em família apanhar flores que se chamam Lírio do Vale ou LÍRIO-DE-MAIO (Convallaria majalis L.)





estas pequenas campainhas perfumam os bosques e florestas quando começa a Primavera.
Depois quando as folhas das árvores crescem e se tornam fortes, a sua sombra cobre o solo
e como não deixam passar os raios de sol as florinhas desaparecem e só tornamos a vê-las frágeis e brancas nos seus tenros caules um ano mais tarde e quando desaparecem deixam em nós a promessa do regresso exactamente na mesma altura um ano depois.
Mas na profusão de lírios só se vêem campainhas brancas a furar o solo, algumas muito pequeninas, que quase só o verde se vê nitidamente e outras lindas, brancas como a neve que vamos apanhando para fazer ramalhetes que oferecemos às pessoas de quem gostamos, até porque por aqui se diz que estas florinhas dão sorte a quem as recebe. Mas a verdade é que é bonito andar pela floresta e às vezes temos uma surpresa: uma vez a Nádia era ainda pequena, andávamos entretidas as duas de flor em flor, quando de repente nos passa aos saltos cheios de vivacidade uma corça ainda novinha mesmo entre as duas. Gritámos de alegria e ficámos a vê-la afastar-se nos seus saltinhos alegres e coloridos.




De vez em quando ao anoitecer elas vêm até à beira da estrada e ali ficam a ver-nos passar no carro. Mas se o carro abranda é vê-las fugir como se perseguidas por alguma fera.
Pois é, se calhar na sua memória de corças está inscrita a imagem do caçador, como não podem saber que gostamos delas, mas vivas e contentes à solta na Natureza, e não as queremos caçar, pelo sim pelo não, o melhor é afastarem-se rapidamente.
Olhem, querem que lhes diga? fico com pena, mesmo com muita pena, porque podia tirar lindas fotografias, se soubessem quando os trigais estão maduros, de tom loiro escuro, que lembra ouro velho, com valor de pão, e longe, mais distante a recortar-se na paisagem o verde negro da floresta anoitecida.
Eram pela certa bonitas fotografias!
Talvez um dia daqui a muito tempo o ser humano e os animais herbívoros, possam vir a ser amigos.
Com muito tempo. Se eles deixarem de ter medo de nós...

Marília







Homme
Tu as regardé la plus triste la plus morne de toutes les fleurs de la terre
Et comme aux autres fleurs tu lui as donné un nom
Tu l'as appelée Pensée.
Pensée
C'était comme on dit bien observé
Bien pensé
Et ces sales fleurs qui ne vivent ni ne se fanent jamais
Tu les as appelées immortelles...
C'était bien fait pour elles...
Mais le lilas tu l'as appelé lilas
Lilas c'était tout à fait ça
Lilas... Lilas...
Aux marguerites tu as donné un nom de femme
Ou bien aux femmes tu as donné un nom de fleur
C'est pareil.
L'essentiel c'était que ce soit joli
Que ça fasse plaisir...
Enfin tu as donné les noms simples à toutes les fleurs simples
Et la plus grande la plus belle
Celle qui pousse toute droite sur le fumier de la misère
Celle qui se dresse à côté des vieux ressorts rouillés
A côté des vieux chiens mouillés
A côte des vieux matelas éventrés
A côté des baraques de planches où vivent les sous-alimentés
Cette fleur tellement vivante
Toute jaune toute brillante
Celle que les savants appellent Hélianthe
Toi tu l'as appelée soleil
...Soleil...
Hélas! hélas! hélas et beaucoup de fois hélas!
Qui regarde le soleil hein?
Qui regarde le soleil?
Personne ne regarde plus le soleil
Les hommes sont devenus ce qu'ils sont devenus
Des hommes intelligents...
Une fleur cancéreuse tubéreuse et méticuleuse à leur boutonnière
Ils se promènent en regardant par terre
Et ils pensent au ciel
Ils pensent... Ils pensent... ils n'arrêtent pas de penser...
Ils ne peuvent plus aimer les véritables fleurs vivantes
Ils aiment les fleurs fanées les fleurs séchées
Les immortelles et les pensées
Et ils marchent dans la boue des souvenirs dans la boue des regrets
Ils se traînent
A grand-peine
Dans les marécages du passé
Et ils traînent... ils traînent leurs chaînes
Et ils traînent les pieds au pas cadencé...
Ils avancent à grand-peine
Enlisés dans leurs champs-élysées
Et ils chantent à tue-tête la chanson mortuaire
Oui ils chantent
A tue-tête
Mais tout ce qui est mort dans leur tête
Pour rien au monde ils ne voudraient l'enlever
Parce que
Dans leur tête
Pousse la fleur sacrée
La sale maigre petite fleur
La fleur malade
La fleur aigre
La fleur toujours fanée
La fleur personnelle...
...La pensée...

Jacques Prévert






Grand pas


MÉDITATIONS POÉTIQUES : LE LAC (1820)

Le lac

Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,
Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges
Jeter l'ancre un seul jour ?

Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière,
Et près des flots chéris qu'elle devait revoir,
Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre
Où tu la vis s'asseoir !

Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes ;
Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés ;
Ainsi le vent jetait l'écume de tes ondes
Sur ses pieds adorés.

Un soir, t'en souvient-il ? nous voguions en silence ;
On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux,
Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence
Tes flots harmonieux.

Tout à coup des accents inconnus à la terre
Du rivage charmé frappèrent les échos,
Le flot fut attentif, et la voix qui m'est chère
Laissa tomber ces mots :

« Ô temps, suspends ton vol ! et vous, heures propices,
Suspendez votre cours !
Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours !

« Assez de malheureux ici-bas vous implorent ;
Coulez, coulez pour eux ;
Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ;
Oubliez les heureux.

« Mais je demande en vain quelques moments encore,
Le temps m'échappe et fuit ;
Je dis à cette nuit : « Sois plus lente » ; et l'aurore
Va dissiper la nuit.




« Aimons donc, aimons donc ! de l'heure fugitive,
Hâtons-nous, jouissons !
L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive ;
Il coule, et nous passons ! »
« Aimons donc, aimons donc ! de l'heure fugitive,
Hâtons-nous, jouissons !
L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive ;
Il coule, et nous passons ! »

Temps jaloux, se peut-il que ces moments d'ivresse,
Où l'amour à longs flots nous verse le bonheur,
S'envolent loin de nous de la même vitesse
Que les jours de malheur ?

Hé quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace ?
Quoi ! passés pour jamais ? quoi ! tout entiers perdus ?
Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface
Ne nous les rendra plus ?

Éternité, néant, passé, sombres abîmes,
Que faites-vous des jours que vous engloutissez ?
Parlez : nous rendrez vous ces extases sublimes
Que vous nous ravissez ?

Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure !
Vous que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir,
Gardez de cette nuit, gardez, belle nature,
Au moins le souvenir !

Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages,
Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux,
Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages
Qui pendent sur tes eaux !

Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe,
Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés,
Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface
De ses molles clartés !

Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire,
Que les parfums légers de ton air embaumé,
Que tout ce qu'on entend, l'on voit et l'on respire,
Tout dise : « Ils ont aimé ! »




Le Lac de Lamartine









blog de la danse classique avc les pas et plein de leçons
mensagens de Amigos



Querida Marília,
Parabéns à tua neta.
A tua força, a tua poesia, a tua grandeza de alma, a tua beleza interior, a tua riqueza, transmite-mas aos teus herdeiros. Não tenho duvidas algumas que esta tua neta herdou de ti o espírito artístico. Estou certa que vai impor-se na dança. Não é uma carreira profissional fácil, mas é bela sem duvida alguma. E num mundo cada vez mais negro, este sonho é reconfortante.
Um grande beijo
Elisa




NOUREYEV






Alejandro et Elena dansent




Greenpeace Portugal







Lista de procurados

Adopta este peixe

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CARMEN
de
Bizet

Toreador






ANNA PAVLOVA



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CHOPIN









CHOPIN VALSE







Artur Rubinstein - Chopin, Waltz Op. 64, No. 2




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La danse du sabre extraite de Gayaneh d'Aram Khatchaturian par l'orchestre d'harmonie de Lannilis






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Johann Strauss II "Persischer Marsch" Op.289









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O Bolero de Ravel







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MOONLIGHT SONATA (Beethoven)









à La Claire Fontaine
em patinagem no gelo






Para Reflectir
Sempre



Parábola dos sete vimes


Era uma vez um pai que tinha sete filhos. Quando estava para morrer, chamou-os todos sete e disse-lhes assim:
- Filhos, já sei que não posso durar muito; mas antes de morrer, quero que cada um de vós me vá buscar um vime seco, e mo traga aqui.
- Eu também? - perguntou o mais pequeno, que tinha só 4 anos. O mais velho tinha 25, e era um rapaz muito reforçado e o mais valente da freguesia.
- Tu também - respondeu o pai ao mais pequeno.
Saíram os sete filhos; e daí a pouco tornaram a voltar, trazendo cada um seu vime seco.
O pai pegou no vime que trouxe o filho mais velho e entregou-o ao mais novinho, dizendo:
- Parte esse vime.
O pequeno partiu o vime, e não lhe custou nada a partir.
Depois o pai entregou ao mesmo filho mais novo, e disse-lhe:
- Agora parte também esse.
O pequeno partiu-o; e partiu, um a um, todos os outros, que o pai lhe foi entregando, e não lhe custou nada parti-los todos.
Partido o último, o pai disse outra vez aos filhos:
- Agora ide por outro vime e trazei-mo.
Os filhos tornaram a sair, e daí a pouco estavam outra vez ao pé do pai, cada um com seu vime.
- Agora dai-mos cá - disse o pai.
E dos vimes todos fez um feixe, atando-os com um vincelho.
E voltando-se para o filho mais velho, disse-lhe assim:
- Toma este feixe! Parte-o!
O filho empregou quanta força tinha, mas não foi capaz de partir o feixe.
- Não podes? - perguntou ele ao filho.
- Não, meu pai, não posso.
- E algum de vós é capaz de o partir? Experimentai.
- Não foi nenhum capaz de o partir?, nem dois juntos, nem três nem todos juntos.
O pai disse-lhes então:
- Meus filhos, o mais pequenino de vós partiu sem lhe custar nada os vimes, enquanto os partiu um por um; e o mais velho de vós não pôde parti-los todos juntos: nem vós, todos juntos, fostes capazes de partir o feixe. Pois bem, lembrai-vos disto e do que vos vou dizer: enquanto vós todos estiverdes unidos, como irmãos que sois, ninguém zombará de vós, nem vos fará mal, ou vencerá. Mas logo que vos separeis, ou reine entre vós a desunião, facilmente sereis vencidos.
Acabou de dizer isto e morreu - e os filhos foram muito felizes, porque viveram sempre em boa irmandade ajudando-se sempre uns aos outros; e como não houve forças que os desunissem, também nunca houve forças que os vencessem".



Trindade Coelho

(a escolha é apenas uma?


Solidários ou Solitários?

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Les photos de Vincent Munier mettent en exergue les mutations du monde animal à la saison froide. Ici, une chouette harfang s'apprête à atterrir dans la campagne épurée de Bellechasse, au Canada. Cette image a été primée au concours de la "BBC Wildlife photographer of the year 2006".Photo © Vincent Munier
ChouetteBœufShiretokoEmpreintesOiesHøgglaGrues




Rozay-en-Brie, Seine-et-Marne - Août 2010 © Muriel Auvray
fleur zèbre pluie chat collection manchots
Fleur Zèbre Pluie
Chat Collection Manchots

OS OLHOS DAS CRIANÇAS



Atrás dos muros altos com garrafas partidas
bem atrás das grades de silêncio imposto
as ciranças de olhos de espanto e de mêdo transidas
as crianças vendidas alugadas perseguidas
olham os poetas com lágrimas no rosto.

Olham os poetas as crianças das vielas
mas não pedem cançonetas mas não pedem baladas
o que elas pedem é que gritemos por elas
as crianças sem livros sem ternura sem janelas
as crianças dos versos que são como pedradas.

Sidonio Muralha
 
 
 

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